Alysha Clark a découvert, il y a quelques années, l'avantage d'avoir des grands parents maternels d'origine juive lorsque l'on joue en Israël.
Une simple conversation, dans une voiture, entre des coéquipières d'Hapoel Rishon Letsion en 2011, a changé la vie de la native de Denver, Alysha Clark. Rivka Ross, joueuse de première division, s'est rappelée du jour où elle avait dit à l'américaine combien il était dommage qu'elle ne comprenne pas l'hébreu. Alors, cette dernière la surprit en lui indiquant qu'elle savait comptait jusqu'à 10 dans la langue ressuscitée par Yehuda Halevi. Clark d'ajouter: "Mes grands parents parlent l'hébreu".
Ross fut alors choquée, et demanda à la joueuse afro-américaine de quel côté de la famille, et Clark indiqua que les parents de sa maman étaient juifs. Excitée, Ross informa Clark, que selon la tradition juive, elle aussi l'était.
"C'était comme si elle ne se rendait pas compte à quel point cette révélation fut cruciale", Ross annonça à la presse. "Elle savait que c'était dans ses gènes, mais elle ne pensait pas que c'était important. Sa maman est blanche et son papa est noir. Ils allaient à l'église, et cela lui était comme un peu perdu".
Clark déclara que sa famille ne célébrait pas les fêtes juives, mais ses grands parents en respectaient quelques unes.
Parce qu'elle vécut proche de Nashville, la jeune fille dût se rendre à Miami afin de trouver un Rav qui connaisse ses parents et puisse certifier qu'ils sont juifs. Clark, alors âgée de 24 ans, fut convoquée à plusieurs entretiens afin de prouver ses racines, seulement toutes les démarches en valaient le coût".
Depuis qu'elle a reçu la nationalité israélienne, Clark n'a qu'un désir, renforcer son lien avec le pays. "Je veux comprendre la langue du pays dans lequel je vis, dialoguer avec les gens, et avec papy et mamy".
Alysha, bienvenue à la maison, et merci pour ton courage.
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