L'entraîneur, en fin de parcours avec l'équipe du sud, est en colère: "Ils n'ont pas accordé de crédit aux choses positives que j'ai accomplies", au sujet de la direction: "Cela fait deux mois que nous ne communiquons pas, et d'un autre côté de très mauvaises choses sont arrivées".
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| Il a pris la porte |
La victoire obtenue, il y a quelques jours, contre Ironi Nahariya, sur le score de 90:87, a marqué la fin de la collaboration de Tzvika Sharaf avec le club de Maccabi Ashdod. Ce qui a débuté de bien belle manière avec l'obtention du maintien en première division, et la qualification pour la finale de la coupe d'Israël cette saison, s'est terminé en laissant des séquelles au sein des deux parties. Le "vieil" entraîneur a été blessé par le comportement de la direction du club lors des deux derniers mois.
"Je termine mon service à Maccabi Ashdod avec des sentiments mitigés. D'une part, il y a eu de très belles choses, et d'une autre, nous ne sommes pas séparés en de bons termes".
Vous avez bien débuté la saison, vous étiez même l'équipe "star" du championnat, et il semblerait que depuis l'altercation avec Swann, tout s'est tout à coup effondré. Que s'est-il réellement passé?
"Oui, cela a été en quelque sorte un point de non retour. De crise. Le troisième tour nous a été catastrophique, et j'en prends la responsabilité. Seulement, on n'a pas accordé de crédit aux belles réalisations que j'ai accomplies. Il semblerait que cela soit la vie".
Vous parlez de la qualification pour la finale de la coupe d'Israël?
"Tout d'abord du maintien de l'équipe en première division malgré toutes ses difficultés. La finale et bien d'autres choses".
Qui n'a pas voulu de vous à Ashdod?
"Le pouvoir de décision appartient à la direction".
Que s'est-il exactement passé entre vous et Yoram Assaraf?
"Je préfère ne pas en parler, et garder cela pour moi".
Vous avez été blessé?
"Oui".
Où serez-vous la saison prochaine?
"À m'occuper de basket-ball".
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